Les Entretiens d’Épictète

Épictète, Arrien

Les Entretiens d’Épictète

Traduction par Victor Courdaveaux.
Didier, 1862.

TABLE DES MATIÈRES

PRÉFACE 

 v

ARRIEN À LUCIUS 

 1

LIVRE PREMIER.

Chapitre 

I^er. — Des choses qui sont en notre pouvoir, et de celles qui n’y sont pas 

 2

— 

II. — Comment on peut conserver sa dignité en toute chose 

 7

— 

III. — Quelles conclusions peut-on tirer de ce que Dieu est le père des hommes ?  

 12

— 

IV. — Sur le progrès  

 14

— 

V. — Contre les Académiciens  

 18

— 

VI. — Sur la Providence  

 20

— 

VII. — De l’usage des raisonnements appelés captieux et hypothétiques, et autres semblables  

 25

— 

VIII. — Les talents des ignorants ne sont pas sans périls  

 29

— 

IX. — Des conséquences que l’on peut tirer de notre parenté avec Dieu  

 32

— 

X. — Contre ceux qui à Rome cherchent les honneurs  

 37

— 

XI. — De l’amour des siens  

 39

— 

XII. — Du contentement de l’esprit  

 45

— 

XIII. — Comment peut-on tout faire d’une manière agréable aux Dieux  

 50

— 

XIV. — Dieu voit tout  

 51

— 

XV. — À quoi s’engage la philosophie ?  

 53

— 

XVI. — De la Providence  

 55

— 

XVII. — De la nécessité de la Logique  

 58

— 

XVIII. — Il ne faut pas s’emporter contre ceux qui font mal  

 62

— 

XIX. — Que devons-nous être à l’égard des tyrans ?  

 65

— 

XX. — Comment la raison se contemple elle-même  

 69

— 

XXI. — Contre ceux qui veulent se faire admirer 

 72

Chapitre 

XXII. — Des notions à priori 

 73

— 

XXIII. — Contre Épicure 

 76

— 

XXIV. — Comment doit-on lutter contre les circonstances difficiles ?  

 78

— 

XXV. — Sur le même sujet  

 81

— 

XXVI. — Que faut-il faire pour apprendre à vivre ?  

 86

— 

XXVII. — De la diversité des idées, et des secours que nous devons nous ménager contre elles 

 89

— 

XXVIII. — Il ne faut pas s’emporter contre les hommes. — Et qu’y a-t-il de grand, qu’y a-t-il de petit dans les choses humaines ?  

 92

— 

XXIX. — De la force d’âme 

 97

— 

XXX. — Que faut-il avoir présent à l’esprit dans les circonstances difficiles ?  

 106

LIVRE DEUXIÈME.

Chapitre 

I^er. — L’assurance n’est pas incompatible avec les précautions 

 109

— 

II. — Du calme de l’âme  

 116

— 

III. — Sur ceux qui recommandent quelqu’un aux philosophes 

 119

— 

IV. — Sur un homme qui avait été surpris en adultère  

 120

— 

V. — Comment on peut à l’élévation de l’esprit unir le soin de ses affaires 

 123

— 

VI. — Des choses indifférentes  

 127

— 

VII. — Comment faut-il consulter les oracles ? 

 131

— 

VIII. — De la nature du bien  

 134

— 

IX. — On n’est pas de force à remplir son rôle d’homme, et l’on se charge encore de celui de philosophe ! 

 138

— 

X. — Comment de nos différents titres on peut déduire nos différents devoirs  

 142

— 

XI. — Quel est le commencement de la philosophie ?  

 146

— 

XII. — Des discussions  

 150

— 

XIII. — De l’inquiétude  

 154

— 

XIV. — À Nason  

 158

— 

XV. — Sur les gens qui persistent obstinément dans ce qu’ils ont décidé 

 163

— 

XVI. — Nous ne nous préparons pas aux jugements que nous portons sur les choses bonnes et mauvaises  

 166

Chapitre 

XVII. — Comment doit-on appliquer les notions à priori aux faits particuliers ? 

 173

— 

XVIII. Comment il faut lutter contre les idées dangereuses 

 180

— 

XIX. — Sur ceux qui n’embrassent la philosophie que pour en discourir  

 184

— 

XX. — Contre les Epicuriens et les Académiciens 

 191

— 

XXI. — Des choses dont on ne convient pas  

 198

— 

XXII. — De l’amitié  

 202

— 

XXIII. — Sur le talent de la parole 

 209

— 

XXIV. — À quelqu’un qu’il n’estimait pas 

 217

— 

XXV. — Nécessité de la Logique 

 222

— 

XXVI. — Quelle est la vraie nature de nos fautes ? 

 223

LIVRE TROISIÈME.

Chapitre 

I^er. — Sur la parure 

 225

— 

II. — Des choses auxquelles il faut exercer l’élève ; et de notre négligence de ce qu’il y a de plus important 

 233

— 

III. — De ce qui sert de matière à l’homme de bien, et du principal but de ses efforts 

 237

— 

IV. — Contre ceux qui, au théâtre, donnent des marques inconvenantes de faveur 

 241

— 

V. — Contre ceux qui partent parce qu’ils sont malades 

 243

— 

VI. — Miscellanées 

 246

— 

VII. — À un disciple d’Épicure, qui était chargé de réformer des villes libres  

 248

— 

VIII. — Comment il faut s’exercer contre ce que les sens nous montrent 

 254

— 

IX. — À un rhéteur qui s’en allait à Rome pour un procès  

 255

— 

X. — Comment doit-on supporter les maladies ?  

 259

— 

XI. — Miscellanées  

 263

— 

XII. — De l’exercice 

 264

— 

XIII. — Qu’est-ce que c’est que l’abandon ? Et qu’est ce qui est abandonné ? 

 267

— 

XIV. — Ça et là  

 271

— 

XV. — C’est après mure réflexion qu’il faut aborder chaque chose 

 274

— 

XVI. — Qu’il faut y regarder à deux fois avant de se laisser entraîner à une liaison  

 276

— 

XVII. — Sur la Providence  

 279

— 

XVIII. — Il ne faut pas se troubler des nouvelles 

 281

Chapitre 

XIX. — De l’homme ordinaire et du philosophe  

 282

— 

XX. — On peut tirer profit de toutes les choses extérieures 

 284

— 

XXI. — Contre ceux qui se mettent trop aisément à donner des leçons de philosophie 

 287

— 

XXII. — Sur l’École cynique  

 291

— 

XXIII. — Contre ceux qui lisent ou discutent par désir de se montrer 

 309

— 

XXIV. — Il ne faut pas s’attacher à ce qui ne dépend pas de nous 

 316

— 

XXV. — Aux gens qui restent en chemin 

 336

— 

XXVI. — À ceux qui craignent la pauvreté 

 338

LIVRE QUATRIÈME.

Chapitre 

I^er. — De la liberté 

 347

— 

II. — Sur nos liaisons  

 378

— 

III. — Quelles choses faut-il échanger, et contre quelles autres ? 

 380

— 

IV. — Sur ceux qui voudraient vivre dans l’inaction  

 382

— 

V. — Contre les gens querelleurs et méchants  

 391

— 

VI. — Sur les gens qui se plaignent d’être un objet de pitié  

 398

— 

VII. — Comment on s’élève au-dessus de la crainte 

 405

— 

VIII. — Sur ceux qui se hâtent trop de jouer le rôle de philosophe  

 413

— 

IX. — À un homme qui était tombé dans l’impudence  

 421

— 

X. — Quelles sont les choses que l’on doit mépriser ? Et quelles sont celles pour les quelles on doit faire autrement ? 

 424

— 

XI. — De la propreté 

 430

— 

XII. — De l’attention  

 436

— 

XIII. — Pour ceux qui parlent trop aisément d’eux-mêmes 

 440